Mon nouvel atelier, sur la rue Coloniale à Montréal, plus spacieux, permet la réalisation et l'entreposage de plus grands formats. Durant cette année, j'utilise exclusivement les bâtons de pastel pour exécuter, à partir de références photographiques ou d'imagination, de grands dessins sur papier. Traitement plutôt brut et ébauché.

C'est un retour aux scènes de genre mais ancrées dans l'urbanité et le sociologique. J'y représente le quotidien, la vie de famille et jette un regard acerbe sur le corporatisme et la culture affairiste tels que vus et vécus de l'intérieur.
Le pastel titré «Les barres parallèles» va mener à la grande série «Les Embranchements».